Voici le mot d'introduction à cette école unique au monde, une école pour redressement pour "mauvais gestionnaire", surnommé "Le camp de l'Enfer". En 13 jours de formation (et 3 de plus pour ceux qui échouent), on n'y apprend pas à mieux gérer des chiffres, mais surtout à développer sa force intérieure de caractère. Devenir un espèce de dur à cuir prêt à la guerre, c'est bon pour les affaires?
Sources:
Je pose les questions-débats:
-Est-ce que d'envoyer son patron dans un boot-camp peut réellement bénéfique pour une entreprise?
-Est-ce que cette école aux méthodes martiales ne pourrait pas équivaloir aux retraites fermées dont les gestionnaires se prévalent une à deux fois l'an...les souffrances en moins?
-Est-ce que ce n'est qu'un moyen détourné, lorsque votre président n'aime pas votre baisse de rendement, que cette école lui serve de "doux bâton de remontrance"?
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